Comme le reste des Etats-Unis, la Floride a connu une progression spectaculaire sur le marché français.

Entre janvier et septembre dernier, elle reçu 233 000 visiteurs, en hausse de 24%. En 2010, elle avait accueilli 249 000 Français (+10% par rapport à 2009).

«La France est un marché très porteur sur lequel nous souhaitons rapidement investir », assure Drusilla Bryan la responsable presse de Visit Florida.

Les détails de cette future campagne de communication ne seront pas communiqués avant l’été. Mais les professionnels, venus lundi dernier à Paris en partenariat avec Jet Set, en connaissent déjà les grandes lignes.

« Nous aimerions mettre l’accent sur les aspects populaires de la région, comme les parcs d’attractions et les plages et Miami, mais également sur les niches comme la nature ou l’aventure ».

En effet, les Français connaissent les classiques : la plage de Miami, le parc Walt Disney d’Orlando ou encore Cap Canaveral.

Mais l’état américain recèle de multiples destinations encore bien peu vendues en France.

Sur la côte Émeraude, qui borde le golfe du Mexique, on découvrira les villes de Naples, Fort Myers & Sanibel et Panama City.

De belles plages de sable blanc raviront les amateurs de farniente. Les aventuriers s'embarqueront à bord de canoës ou de jet ski pour explorer les profondeurs des marécages du parc national des Everglades.

Les parcs d’attractions, l’un des premiers motifs de visite de la Floride, ont également des nouveautés. Le parc Universal Orlando Resort propose notamment une nouvelle attraction en 4 D autour de Spiderman en mars prochain.

Une autre en 3D sera créée autour du film "Moi, Moche et Méchant". Enfin, un nouveau spectacle célèbrera les moments forts des films les plus cultes d’Universal Pictures.

Coté hébergement, la Floride possède de nombreux appartement à louer, des « condo » qui conviendront aux familles à la recherche d’un hébergement de standing avec un très bon rapport qualité prix.

Mais la formule de vacances préférée des Français reste l’autotour. « Ils sont très mobiles et adeptes des sauts de puces entre les villes, contrairement aux Scandinaves qui restent sur la plage ou aux Anglais qui restent à Orlando » confirme Drusilla Bryan.

Reste aux TO à développer de nouveau parcours dans ces régions encore peu visitées.

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