Alors allons-y gaiement : la situation actuelle est, n'ayons pas peur des mots... historique !

Pourquoi ? Parce qu'elle pourrait envisager de remettre les compteurs à zéro (pas les commissions) dans le couple Producteurs-Distributeurs.

Un couple un peu usé par les frasques des conjoints et dont les rapports multi-canaux, à force de coups de canif dans le contrat, ressemblent davantage aux "Liaisons dangereuses" qu'à Paul et Virginie, même si les apparences sont parfois trompeuses...

Bref, rien ne va plus dans la grande "famille" du tourisme et les tapes sur l'épaule et les embrassades n'y changeront rien.

Aujourd'hui il y a les "aficionados" du laisser faire et laisser aller, autrement dit ceux qui pensent que de toute façon c'est fichu, qu'il est trop tard et que, quoi qu'on fasse, les dés sont jetés.

En face, les autres estiment que la démonstration de force des distributeurs et de leur Collectif pour mettre les producteurs au pied du mur, tient la route.

Que c'est au pied du mur qu'on voit le TO et que l'occasion est trop belle à condition de ne pas lâcher l'affaire.

Bref, les choses sont allées trop loin pour qu'on puisse y maintenant reculer et/ou y mettre fin sans faire de dégâts ni perdre la face.

La question est : faut-il retravailler sur une Charte de bonne conduite ou laisser le marché réguler, sachant que c'est à la fin de la foire que l'on compte les bouses ?

Quoi qu'il en soit, il faudra bien en sortir. Après le round d'observation et faute de répondant, les Distributeurs devraient remonter la barre d'un cran d'ici mi-octobre.

Le combat, s'il avait lieu, pourrait laisser des traces compte tenu des poids lourds présents sur le ring. Bref, les paris sont ouverts !

Toute l'actualité avec TourMaGazine.fr