Voyamar réunissait pour la première fois les agences de voyages parisiennes, au Hard Rock Café.

Après avoir reçu, dans un premier temps, les agences AS Voyages, il a ensuite accueilli plus largement les agences parisiennes, dans le cadre d’un workshop États-Unis Canada auxquels le TO consacre une brochure à part entière.

Pour cette production outre-atlantique, Voyamar ne déroge pas à ses principes fondateurs.

Il propose des forfaits clé en main faciles à vendre, avec des départs garantis de Genève, Bruxelles et de treize villes de France.

En B2B, Voyamar ne programme que des forfaits : « Les agences n’ont pas besoin des TO pour les séjours à la carte, puisqu’elles les montent elles-mêmes. », explique Aurélien Aufort, directeur général adjoint de Voyamar.

Le TO offre néanmoins une très large gamme de forfaits, y compris des circuits haut de gamme pour de petits groupes, comme cette nouveauté très authentique, de 13 jours/12 nuits, « Découverte de l’Acadie ».

Simples à réserver en ligne, ses forfaits se vendent rapidement sans request.

« S’il n’obtient pas une réponse rapide de l’agent de voyages, le client risque d’aller la chercher lui-même en ligne. » remarque le jeune directeur général adjoint.

Aussi Voyamar mise-t-il sur l’importance des stocks terrestres et aériens, qui lui permettent de garantir des dispos et les prix.

Il a ainsi acheté 10 000 sièges sur les USA et le Canada, dont 3 000 ont déjà été vendus en deux mois, depuis janvier dernier.

Avec un panier moyen de 1 500 € pour la basse saison et de 1 800 € pour la haute saison, ses ventes USA Canada représentent 30 % de son chiffre d’affaires, sur les deux premiers mois de l’année 2012.

« Nous avons ainsi compensé la baisse d’activité sur le Bassin Méditerranéen. » estime Aurélien Aufort, qui se réjouit, par ailleurs, de la forte reprise de la Tunisie, la destination fétiche du TO.

Les deux productions sont d’ailleurs complémentaires. À l’inverse du Bassin Méditerranéen, les ventes pour l’été sur les États-Unis et le Canada sont très précoces.

Car il est plus compliqué d’y trouver un bus et un guide, qu’une place d’avion !

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