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Les plages : l’or jaune et bleu de République Dominicaine

Publié le mercredi 14 mars 2012 lu 638 fois
Une longue plage d’un sable blanc immaculé, bordée par des cocotiers et une mer turquoise. Cette image de rêve est la carte de visite de la République Dominicaine. En effet, c’est sur son potentiel balnéaire que la destination s’est forgée une réputation mondiale dans les années 90. Il est vrai qu’avec près de 400 km de plages, réparties entre la mer des Caraïbes au sud et l’Atlantique au nord, le choix ne manque pas. Le voyageur pourra se prélasser dans les eaux calmes et peu profondes de Boca Chica ou Juan Dolio, bronzer dans un décor incroyable à Bayahibe ou la Romana, profiter des larges baies de sable blanc de Punta Cana à Bavaro, des eaux multicolores et des criques sauvages de la presqu’île de Samaná, ou des vagues vivifiantes de la côte nord. Si la première activité en bord de mer est bien évidement le farniente, la République Dominicaine propose également une très large gamme d’activités sportives et aquatiques. Plongée sous-marine, planche à voile, kite-surf que l’on peut pratiquer dans les plus belles plages du pays.
Les plages : l’or jaune et bleu de République Dominicaine

Farniente au sud
La côte sud du pays, bien abritée et bordée par la mer des Caraïbes, a vu naître le concept de All inclusive. Les resorts et hôtels clubs sont donc particulièrement nombreux dans cette région. Ce qui ne l’empêche pas de conserver un caractère sauvage et quelques plages vierges où l’on peut encore jouer à Robinson Crusoé. La plage de Boca Chica est particulièrement appréciée le week-end par les Dominicains qui viennent profiter de son sable blanc et de ses cocotiers. À 20 km de là, Juan Dolio est plus calme, et possède de nombreuses installations sportives. Pour découvrir des villages de pêcheurs encore préservés, direction Bayahibe ou Boca de Yuma. Enfin, à la pointe est, Punta Cana est la plus célèbre plage de l’île. Si ses plages sont désormais bien connues, il reste encore de nombreux rivages sauvages qui n’attendent que d’être découverts. Vers l’ouest, en direction de la frontière haïtienne, les hôtels se font plus rares, même si la région reste magnifique, souvent protégée par des parcs naturels. On peut s’arrêter à Barahona, Enriquillo, ou Bahoruco, pour chercher des Larimars, une pierre semi-précieuse qui n’existe qu’en République Dominicaine.

La côte de l’Ambre au nord
Le littoral Atlantique de la République Dominicaine est jalonné de villes et villages, de criques sauvages et de plages de sable fin. Si le tourisme y est également bien développé, cette partie reste plus authentique que le sud du pays. C’est ici que Christophe Colomb a débarqué en 1492 et que son frère a fondé Puerto Plata, qui deviendra une importante cité portuaire. Elle doit son charme à ses belles maisons victoriennes uniques dans le pays. Les motifs « gingerbread », ces filigranes de bois entrelacés et les couleurs pastels confère à cette cité une ambiance romantique, comme au début du siècle. À 4 km de la ville se trouve une nouvelle attraction, le parc animalier Ocean World. Ce vaste parc aquatique possède un immense lagon dans lequel on peut s’ébattre avec les dauphins. Sa jungle tropicale est peuplée de tigres blancs, de lézards, et d’autres animaux exotiques.
Plus à l’est, Sosua est un charmant village développé par des réfugiés juifs après la seconde guerre mondiale. Il a réussi à conserver une ambiance authentique des années 50 avec ses bars, cafés et restaurants.
Pour les amoureux de sport de voile, Cabarete est un site incontournable. Il fait partie des 10 meilleurs spots mondiaux pour la planche à voile et le kite surf. Pour des plages plus calmes, direction Punta Rucia, une des plus belles du pays. On peut y déguster des langoustes dans les cabanes de pêcheurs.

La péninsule de Samaná
Cette presqu’île est un peu à part en République Dominicaine. Autrefois sauvage et recouverte de cocotiers, elle s’est doucement ouverte au tourisme. On peut y admirer, de janvier à mars, des baleines qui viennent ici se reproduire et mettre bas. Mais Samaná abrite aussi de superbes plages de sable, comme celles de Las Terrenas, un petit village de pêcheurs, de Las Galeras ou la baie de Las Flechas, lieu de combat entre les indigènes et les colons espagnols.

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source: TourMag

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